Malgré ne pas avoir de fronton, la cesta est fort dans Pamiers

  • 2018-11-09

Pamiers est une localité qui est située dans le Département d’Arége, environ 40 minutes avant de Toulousse et à peu plus d’une heure de l’Andorre La Vella. Mais la cesta a déjà une longue tradition dans cette localité d’Occitania et tout sans avoir de fronton, bien qu’ils disposent de deux places libres, l’un en plein air et un autre couvert.

« Ici la cesta porte déjà beaucoup d’années. Les Basques l’ont introduit quand ils sont venus à travailler ici et ils jouaient à une place libre, après la guerre. Déjà là-bas, par le 1990, il est quand l’école de cesta s’est appuyée, mais le club, est déjà beaucoup plus antique », assure Jean François Mercade, l’un des membres de Pelote Pamiers.

La cesta a une force dans Pamiers et dans le cas des permissions, ils ne parcourent rien de mauvais. « Nous avons environ 40 permissions, et la vérité consiste en ce que nous ne sommes pas tout à fait mauvais. Nous avons de plus dans toutes les catégories et aussi il y a sept femmes, quatre d’elles d’un très haut niveau et trois plus qu’ils ont commencé cette année », affirme Jean François.

Mais, ne pas avoir de frontons dans le peuple, plus d’un problème les occasionne. « À la fin nous avons à entraîner sur une place libre et pour l’été cela est très bien, mais aussi nous sommes habitués. Dans Toulousse il y a deux frontons de 36 mètres et autre dans un peuple proche. Là nous avons l’habitude d’aller aussi. Tout de suite, Toulousse a aussi un club de cesta et nous jouons avec ceux-ci. Les plus jeunes jouent des paires et les plus grands dans un simple. À l’avoir un club aussi dans Toulousse, il nous facilite beaucoup les choses, puisque nous sommes les deux près », assure Jean François.

Le membre du club de Pamiers, affirme aussi qu’ils ont une grande relation avec le Vasconia de Barcelone. « Nous sommes à une moitié de chemin entre la Catalogne et Euskal Herria, par ce que n’est pas compliqué aller à Barcelone. La relation avec ceux-ci est magnifique, comme c’il sont comme ceux-là d’Euskal Herria, ou Pau, Hossegor ou avec ceux-là de Villenave. À la fin l’important consiste en ce que nous portons entre tous a cesta en avant », il dit.

Par cela, le travail de Xistera lui semble fondamental. « Xistera fait un grand travail et je pense que c’est fondamental pour le développement et pour l’avenir de notre sport. Il a été capable d’unir aux clubs. Pour nous c’est aussi très important et pour nos filles les rencontres internationales ont une importance vitale », il assure.

Quant à lui faire un fronton dans Pamiers semble à Jean François compliqué. « Le Conseil municipal dit qu’il n’y a pas d’argent, et que 40 pelotaris sont peu nombreux, mais je suis convaincu de ce que si nous avions un fronton il y aurait plus de pelotaris, je n’ai pas de doute dans cela, puisque chaque année ils viennent plus ». Il commente, Portet est pour sa part la référence des pelotaris. « C’est un grand professionnel et un grand pelotari. Il est d’ici, il a commencé dans cette école et avec 14 ans il est parti à Pau avec l’intention d’aller mieux et il regarde où il est arrivé. C’est la référence de tous et toutes », assure Jean François.

L’avenir voit avec beaucoup un optimisme. « Nous sommes bien, savons où nous sommes et avec la situation que nous avons qu’il faut faire des kilomètres pour jouer, mais il nous plaît et est positif. Beaucoup de choses apprennent, beaucoup de personnes sont connues, cela est aussi très riche. Tu étançonnes ici nous sommes ouverts à toutes et à tous, sans regarder l’âge », commente Jean François.