Dans Hossegor la cesta punta continue d’être très fort

  • 2018-10-11

La cesta punta cette très forte et avec une santé en fer dans Hossegor. C’est le peuple unique des Landes qui a un club de cesta punta et ils le disent avec orgueil qui est le premier de tout l’état français.

« Le club porte 60 ans. Tout est né de la main d’Alfred Eluerre, d’un homme politique influent, qui a apporté la cesta punta a Hossegor. On lui semblait un sport élégant, et près de l’escrime et le golf il l’a introduit dans Hossegor, en créant de plus le fronton Jai Alai, premier une longueur de tout l’état français », assure Juilien Moresmau, ex-puntista professionnel et directif du club.

La cesta continue d’être le roi de la balle dans cette localité des Landes. « Le cesta a beaucoup de force ici. On peut dire que près du golf et le surf c’est le premier sport du peuple. Tout de suite, il n’a pas beaucoup d’habitants, bien que dans un été ils se multiplient. Durant le temps estival Jai Alai et la place libre ont l’habitude de se remplir », assure Julien.

Hossegor dispose de 4.000 habitants pendant l’année, mais dans l’été il se remplit d’un touriste et peut arriver à avoir jusqu’à 45.000 habitants. Plusieurs d’eux veulent voir la cesta punta, quelque chose qui il vient bien au club.

Selon Julien, l’actuel état du club est très bon. « Il y a eu des meilleurs moments, comme partout, mais aussi pires. Dans ces moments nous avons environ 120 permissions et avons pelotaris dans toutes les catégories. Pour mettre un mais, il mettrait les cadets et infantiles. Il y a beaucoup de clubs qui leur manquent pelotaris de ces âges et les nôtres restent avec peu de partis », il dit. « L’autre des elles sont les femmes que nous n’avons pas, bien que nous le soyons tentés », il ajoute.

Hossegor Jai Alai bien sa aussi qu’il faut soigner le pelotari. « L’aspect technique est très important et fondamental, mais il faut aussi travailler l’aspect physique et nous sommes dans cela. Nous avons commercé des préparateurs physiques et ils travaillent avec nos pelotaris », il affirme.

L’autre des ingrédients qui ont additionné le club est celui-là du divertissement, l’oisiveté, pelotaris qui jouent à cesta punta seulement pour passer le temps et faire du sport. « Il y a des gens qui utilisent le temps libre pour courir, pour jouer au football, ou la pala à je jaillis une pelle ou frontenis, simplement avec les amis pour suer. Nous avons voulu faire le même dans la cesta, attirer les gens que dans son moment libre il joue vers la cesta. Pour cela nous avons mis des moniteurs et adaptons le matériel et la vérité consiste en ce qu’il fonctionne très bien », dit Julien. « Nous avons aussi un espace pour les vétérans, pour qu’ils jouent entre ceux-ci et continuent de pratiquer la cesta », il ajoute.

L’avenir ne voit rien de mauvais. « Le problème peut être le manque de jaia alais, mais je pense que l’actuelle situation n’est pas mauvaise. Il y a beaucoup de jeunes gens en pratiquant la cesta et cela est important pour l’avenir ». En parlant de jai alais, Hossegor est l’unique qu’il a dans Les Landes utilisable, puisque celui-là de Dax est fermé. « Dans Dax a aussi un jai alai, mais il est fermé, on ne peut pas utiliser. Ils ont voulu faire des oeuvres dans le stade de rugby, qui est au côté et ont laissé le jai alai unutilisable », dit Julien. Dans Hossegor, pesez être seul dans Les Landes, ils sont tout près d’Euskal Herria, et cela est un soulagement pour ceux-ci, puisqu’il ne leur faut pas parcourir beaucoup de kilomètres pour jouer comme il arrive avec quelques autres clubs. Ils sont avec beaucoup d’illusion et ils continueront de travailler par et pour le cesta punta.